[Note de lecture] Enfances de Ralphanie Mwana Kongo par Joss Doszen

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Si vous n’avez pas encore fait la connaissance de Joss Doszen roi de cœur de l’édition 2018 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, c’est le moment où jamais, en cliquant sur sa page dédiée vous aurez accès à tous les articles publiés autour de son travail avec de ma part un choix clairement orienté (qui ne vous étonnera guère) en direction des auteures africaines alors que son spectre de lectures s’étend  de l’Afrique aux caraïbes en passant par les états-Unis.

Au mois d’août dernier, dans l’article Littérature africaine au féminin : 7 chroniques, je vous suggérais une promenade sur Loumeto le blog de Joss Doszen, et c’est à une houleuse discussion que je dois l’envie de zoomer sur l’une de ses chroniques, précisément celle consacrée à Enfances le recueil de nouvelles de Ralphanie Mwana Kongo.

C’est en lecteur bicéphale, c’est à dire en hôte des Palabres Autour Des Arts ayant reçu Ralphanie Mwana Kongo pour son premier roman, puis collaborateur lorsque l’auteure rejoindra l’équipe de chroniqueurs, autant qu’en ami Facebook témoin de ses productions littéraires sur ce réseau que Joss Doszen rend compte de ses impressions.

Je connais l’auteure !

Je pense la connaître assez bien maintenant. 

J’échange avec elle sur la littérature depuis plus de quatre ans, nous avons partagé les mots de la palabre lors de rencontres littéraires pimentées et j’ai lu, avec l’assiduité ascétique d’un Mollah de la lecture, chacune de ses micro-histoires publiées sur Facebook. 

Donc, effectivement, je connais l’auteure ; ses penchants de lectures et surtout, son inclination très marquée pour les textes intimistes, les récits sombres de nos petites vies et, je dirai même, son appétence à explorer le glauque familial, ces tabous que l’on enterre dans les traumatismes de l’enfance. Je l’ai même souvent surnommé Ralphanie Angot-Kongo.

Je n’ai donc pas le moins du monde été surpris de voir la publication, l’auto-publication, de ce recueil de 4 nouvelles sur les blessures de l’enfance, sur l’enfance déchirée. J’étais même dans une attente assez excitée de découvrir cette nouvelle publication qui s’est fait attendre (presque 5 ans d’écart avec « La boue de Saint-Pierre » son précédent roman paru aux éditions L’Harmattan).

C’est ainsi que commence l’article. Pour lire la suite, c’est par ici –> Ralphanie Mwana Kongo

Que dire, sinon que dans une blogosphère littéraire de plus en plus standardisée pour ne pas dire chloroformée, la voix de Joss Doszen se démarque assurément par ce style incisif, gouailleur fortement clivant : on aime ou l’on déteste, moi j’adore ! Et vous ?

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