Tchonté Silué chronique Tristesse au paradis de Grâce Minlibé

journee femme africaine tchonte silue chronique grace minlibe tristesse paradis

En septembre dernier, je vous faisais part des dernières nouvelles provenant de mes promenades sur le blog de Tchonté Silué blogueuse, créatrice du Centre Eulis à Abidjan et benjamine de l’édition 2017 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Contrairement à la dernière fois où je vous suggérais la lecture de différents article, cette fois j’ai choisi de me concentrer sur sa note de lecture de Tristesse au paradis premier roman de Grâce Minlibé  auteure et blogueuse ivoirienne.

De vous à moi, lors de mes promenades sur le blog de Tchonté Silué, c’est toujours curieuse et piaffant d’impatience que je clique sur “Read with me“, rubrique qui rend compte de ses dernières émotions livresques avec le souci de l’illustration idoine exempt du racolage qui contamine une certaine blogosphère cédant à l’immense foire aux vanités. Chez cette lectrice vorace, à la vague et douce rêverie du plaisir de lire se mêle (quasi) systématiquement une subtile volupté du plaisir de manger. C’est dans cette douce coexistence que je découvre un premier avis sur “Tristesse au paradis”.

D’entrée de jeu, la blogueuse nous met l’au à la bouche avec un extrait de l’ouvrage qui tout en donnant à voir les personnages principaux laisse entrevoir la présence d’un nœud Gordien, suivent quelques impressions sur les personnages, les dialogues auxquelles se mêlent ici et là des observations constructive sur un premier roman.

Un bref extrait pour vous donner une idée du ton primesautier de cette chronique :

On sent la romance dès l’image de couverture. Le résumé et la préface de “Tristesse au paradis” nous donnent un aperçu de la situation. Inévitablement on prévoit le pire, mais je ne m’attendais pas du tout à la tournure qu’ont pris les évènements. “Tristesse au paradis” m’a rappelé à quel point j’aime les romances dramatiques dans les livres. Ce sont les moments de tristesse qui m’ont le plus touchée. Peut-être parce que toutes les personnes heureuses se ressemblent mais que les malheureuses le sont chacune à leur façon, pour rejoindre Tolstoï…

Hummm voilà qui me parle !

Lire l’intégralité de la chronique  –> Tristesse au paradis

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.